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Martine (UCLouvain 1+1)
« Un jour, des hommes armés sont venus chez moi et ont tué mon mari et 7 de mes enfants. Seule la plus jeune a été sauvée. Depuis, nous vivons avec… +

Martine (UCLouvain 1+1)
« J’ai rencontré des médecins et j’ai raconté mon histoire»
« Un jour, des hommes armés sont venus chez moi et ont tué mon mari et 7 de mes enfants. Seule la plus jeune a été sauvée. Depuis, nous vivons avec ma fille dans un camp à Mugeri.
Le temps a passé, mais je n’arrivais pas à oublier. Je ne dormais plus, je n’avais plus faim, j’étais tout le temps triste…
Voyant que j’allais très mal, ma fille m’a emmenée au Centre de santé de Mugeri. Là, j’ai rencontré des médecins et j’ai raconté mon histoire. Je participe à des groupes de parole avec d’autres personnes qui ont perdu des membres de leur famille. Petit à petit, je me sens un peu mieux.
Je peux dormir un peu la nuit et je cultive mon petit jardin durant la journée. »
Moïse
« Je vivais dans ma famille, j’étais à l’école en sixième primaire. Arrivé à la fin de l’année, j’ai demandé à mes parents de l’argent pour passer l’… +
Moïse
« Un jour, je suis parti pour trouver de l’argent. J’ai vécu plusieurs mois dans la rue»
« Je vivais dans ma famille, j’étais à l’école en sixième primaire. Arrivé à la fin de l’année, j’ai demandé à mes parents de l’argent pour passer l’examen sélectif pour accéder aux études secondaires. J’ai demandé plusieurs fois, mais ils ne me le donnaient jamais car l’argent manquait.
Ma mère me promettait toujours que j’allais étudier, mais ça n’arrivait jamais. Un jour, je suis parti pour trouver de l’argent. J’ai vécu plusieurs mois dans la rue. La journée, je ramassais du fer pour le vendre et avoir un peu d’argent et le soir je dormais dehors. C’était très difficile.
Je ne trouvais pas à manger. Je ne savais pas quoi faire. Des enfants m’ont parlé d’un centre où je pouvais manger. J’y suis allé un peu. C’est vrai qu’ils me donnaient à manger là-bas, mais je n’étudiais toujours pas. Et, moi c’était les études que je cherchais !
Un ami m’a parlé d’un centre pas loin, appelé Don Bosco (partenaire de Louvain Coopération à Bukavu). J’y suis allé et ils m’ont que je pouvais y rester, manger, dormir et étudier. Je suis retourné à l’école depuis septembre. Je dis merci ! »

DR M.Ramakavelo
Le Dr Mandavololona Ramakavelo, gynécologue et obstétricienne, met son talent et ses connaissances au service de l’hôpital de Belo. « Je pense que… +

DR M.Ramakavelo
« Cet hôpital me permet d’espérer »
Le Dr Mandavololona Ramakavelo, gynécologue et obstétricienne, met son talent et ses connaissances au service de l’hôpital de Belo. « Je pense que cette structure représente une grande aide pour la population. C’est très important qu’il y ait un centre de santé ici car, avant, l’hôpital le plus proche qui pratique de la chirurgie se trouvait à Morondave, soit à plus de 100 kilomètres par des routes en très mauvais état. C’était donc très difficile de le rejoindre pour des personnes nécessitant une intervention d’urgence. Aussi, d’un point de vue économique, l’hôpital de Belo est devenu très important pour la région… »
Chaque jour, cette doctoresse fait l’impossible pour venir en aide aux futures mamans qui mettent leur vie entre ses mains. « Les cas les plus fréquents sont les césariennes, les échecs d’accouchement par voie basse pour lesquels on est obligé de réaliser une intervention chirurgicale d’urgence. Viennent ensuite les appendicectomies. Mais nous réalisons également de nombreuses autres interventions chirurgicales. Actuellement, une des plus grandes difficultés pour les patients comme pour les soignants est l’éloignement de certains villages par rapport à l’hôpital. Lorsque des patients qui viennent de loin arrivent ici, ce sont toujours des cas très graves autour desquels il faut mettre en place toute une réanimation, plusieurs interventions. C’est très difficile pour nous et pour les patients. »
Si la construction de l’hôpital de Belo a énormément avancé ces dernières années, il est aujourd’hui victime de son succès et, comme l’explique la gynécologue, certains besoins importants se font sentir. « C’est le personnel surtout qui manque. Aujourd’hui, on a beaucoup d’activités et nous manquons donc de soignants, mais aussi de chambres pour accueillir les patients. En ce qui concerne la chirurgie, le matériel fait également défaut. Nous avons besoin de plus d’instruments pour le bloc opératoire pour réaliser de plus nombreuses interventions. Petit à petit, les choses évoluent. Même si l’état de la santé à Madagascar reste difficile, les initiatives comme l’hôpital de Belo me permettent d’espérer… »

Agnès
Je m’appelle Agnès, j’ai 47 ans et je vis avec mes enfants dans la commune de Boukombé, au nord du Bénin. Avec les femmes de mon association, nous… +

Agnès
« Nous transformons le fonio! »
Je m’appelle Agnès, j’ai 47 ans et je vis avec mes enfants dans la commune de Boukombé, au nord du Bénin. Avec les femmes de mon association, nous transformons le fonio, une céréale cultivée dans la région, en semoule, farine, bouillie... afin de la vendre. Grâce aux revenus de cette activité, mes enfants vont à l’école, et je peux régler les dépenses médicales en cas de besoin.
Le fonio est indispensable non seulement pour nos associations de femmes, mais surtout parce qu’il nourrit de très nombreuses personnes. Récoltée tôt dans la saison, cette céréale permet aux familles de survivre entre deux moissons. Très nutritive, elle apporte notamment aux jeunes mères les forces dont elles ont besoin pour nourrir leur enfant. Nous avons aussi compris ces dernières années que le fonio pousse bien malgré les changements climatiques et le manque de pluie, lorsque d’autres cultures en souffrent beaucoup.
Pour toutes ces raisons, nous avons besoin de produire plus de fonio ! Depuis un an, Louvain Coopération nous aide dans la production, la transformation et la vente de cette céréale si importante. Chaque jour, ce sont des familles entières, des familles comme la mienne, qui sont protégées de la faim et de la pauvreté grâce au fonio.
EN 2019 VOS DONS NOUS ONT PERMIS DE :
- Au Bénin, 236 membres (dont 176 femmes) de coopératives transformatrices de manioc dans le Mono ont bénéficié des cours d’alphabétisation fonctionnelle.
- En Bolivie, 10 groupes d'entraide comptant 121 membres ont été établis pour accueillir des femmes survivantes de violences basées sur le genre.
- Au Burundi, 6.000 ménages ont été appuyés en semences, intrants et outillages agricoles pour augmenter la production de manière durable.
- Au Cambodge, 580 nouveaux patients atteints de troubles mentaux ont été traités.
- À Madagascar, 44,8 ha de mangroves ont été reboisés ou restaurés soit environ 147.827 propagules plantées.
- En République démocratique du Congo, 239 enfants en situation de rue ont été réunifiés en famille.
- Au Togo, 18.808 cas de maladies ont été pris en charge par les mutuelles de santé, soit un taux d’utilisation des services de santé par les mutualistes de 131,21%.
Si, bien sûr, la totalité de nos efforts est dédiée à nos projets, nous avons décidé d’adapter la présentation de nos dépenses de façon conforme aux pratiques des autres ONG, en détaillant, à côté des budgets affectés spécifiquement aux projets sur le terrain, les frais liés à la collecte de fonds, les frais de personnel, ainsi que les frais de fonctionnement du siège central (bâtiment et frais connexes, informatique, formation,...).